Je n’ai pas vraiment eu l’occasion de réfléchir à cette question qui va peut être animer notre début d’année politique. Toutefois, j’ai une réaction à chaud pour alimenter le débat.
Ce qui me chagrine le plus dans l’immigration choisie c’est que l’on va préjuger à l’avance du bénéfice que le futur migrant va apporter à la communauté. J’ai, assez proche de moi, un magnifique contre exemple. C’est donc l’histoire d’un jeune homme qui débarque en France adolescent d’un des pays les plus pauvre de la planète. Il n’a (presque) jamais mis de chaussure et n’a qu’un pull dans ses bagages. Ce jeune homme va :
- travailler,
- faire de brillantes études,
- se faire naturaliser et faire son service militaire,
- se marier, avoir des enfants,
- créer des entreprises (qui sont toujours là … enfin certaines),
- faire construire une maison,
- payer des impôts, alimenter sa caisse de retraite, cotiser pour le chômage etc….
- acheter des voitures, consommer, voter
qu’il aurait été dommage de le laisser à la frontière !
Avec un système d’immigration choisi cela aurait été définitivement le cas.
Sur ce, quittons nous en musique !
Sarkozy hongrois chez les gaulois
envoyé par sarkophage